Nos points de vue

Cette étude menée par Deloitte de juin à novembre 2024, examine l'adoption et l'usage de l'intelligence artificielle dans les fonctions de la conformité. Elle révèle une forte appétence des entreprises pour les technologies d'intelligence artificielle (IA), les considérant comme un levier stratégique incontournable. L'IA est principalement utilisée pour améliorer l'efficacité opérationnelle, l'expérience client, et la gestion des risques, parmi d'autres applications telles que l'innovation et la réduction des coûts. L'étude identifie également des défis importants dans la mise en conformité avec l'Artificial Intelligence Act, notamment le manque de ressources et d'implication des parties prenantes. 

L'intelligence artificielle (IA) transforme rapidement les différents métiers au sein de nos organisations, celui du contrôle interne n'échappe pas à cette révolution. Traditionnellement perçu comme une fonction axée sur la conformité et la gestion des risques, le contrôle interne peut s’appuyer aujourd'hui sur les avancées de l'IA pour renforcer son efficacité grâce à une plus large couverture de contrôles, une précision accrue dans la détection des risques ou encore une plus grande pertinence dans le ciblage des contrôles à mener.

À l’ère du numérique, la notion de confiance évolue et acquiert une dimension nouvelle et cruciale. La sécurité des échanges, la protection des données sensibles, ainsi que la transparence des opérations reposent désormais sur une nouvelle entité : la confiance numérique.

Le DPP voulu par le règlement européen sur l’éco-conception dit « ESPR » devrait entrer en vigueur pour de nombreux types de produits à partir de 2027, obligeant les fabricants et metteurs en marché à mettre en place cette technologie, et in fine permettre aux consommateurs de comparer ces produits selon des critères environnementaux.

Alors que l’édition précédente de l'étude avait mis en lumière une explosion des fonctionnalités offertes sur les canaux digitaux, en raison de la pandémie, cette édition  2024 révèle une nouvelle orientation stratégique des banques : une priorité donnée à l’hyperpersonnalisation et à la refonte des canaux digitaux pour optimiser l’expérience client.

Retrouvez notre point de vue autour du risque de modèle, en particulier d’expliquer l’importance de ce risque dans la conjoncture économique particulière, de sa bonne gestion. 

Dans un contexte où les entreprises évoluent rapidement pour répondre aux changements économiques, technologiques et environnementaux, l’architecture d’entreprise est devenue une composante essentielle pour accompagner les organisations dans leur transformation. Mais où en sont les pratiques d’architecture d’entreprise aujourd’hui ?

Notre enquête vise à apporter un éclairage sur les dispositifs mis en place par les entreprises en matière de prévention et de détection des comportements contraires à l’éthique, de l’organisation de leur traitement et du recours à des technologies innovantes, spécifiquement l’IA, pour optimiser les enquêtes internes. 

L’émergence de nouveaux comportements de la part des emprunteurs, l’intégration de contraintes légales sur le DPE (Diagnostic de Performance Énergétique) sur les biens destinés à la location et la prise en compte des enjeux de transition énergétiques dans la gestion des activités bancaires et de leurs risques pose la question de la qualité des modèles de valorisation utilisés dans les banques et plus spécifiquement de leur segmentation.

En 2016 débutait une période de 8 ans durant laquelle la Métropole du Grand Paris a connu une dynamique exceptionnelle de production de bureaux neufs ou restructurés. Cette page semble s’être refermée cet hiver 2024, avec un encours qui est repassé sous la moyenne des 20 dernières années.

Ne manquez pas notre nouvelle étude sur l'évaluation de l’impact environnemental du numérique en France qui s'appuie sur nos précédents travaux avec L'ADEME-Arcep.

Comme chaque année, Deloitte publie son étude « European Hotel Industry and Investment ». Celle-ci se base sur une enquête menée entre le 7 août et le 17 septembre 2024 auprès des dirigeants du secteur : propriétaires, exploitants, investisseurs, …