Le secteur de l'assurance a subi un retard dans la course à la digitalisation. Ce projet est jugé souvent comme coûteux, qui ne permet pas un ROI à court terme, et les assureurs ayant toujours dépriorisé leurs transformations digitales et en particulier la modernisation de leur core system.
Ils continuent de gérer leurs activités sur des plateformes traditionnelles déployées dans les années 1980-1990. Ces plateformes sont soit développées in house par les assureurs eux-mêmes, soit tellement personnalisées quelles ne ressemblent plus au progiciel original.
De plus, aujourd'hui, les acteurs sont confrontés à des contrats d'assistance, à un patchwork de personnalisations et d'intégrations mal documentées, ce qui accroît considérablement les coûts de maintenance.
· Rénovation d’un SI peu évolutif et en limite de performance (dans un contexte d’explosion des sollicitations par les canaux digitaux)
· Mise à jour réglementaire
· Données sécurisées
· Lancement d’une nouvelle activité
· Internalisation/externalisation (par exemple : Insurance-as-a-Service)
· Fusion et acquisition
· Mise en place de nouveaux parcours de souscription
· Lancement de nouveaux produits et de nouveaux services
· Rationalisation des back-offices
· Mise en œuvre de middle office
· Frontalisation d’activités
· Optimisation des processus
· Ouverture des architectures
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